Un Orchestre des Champs-Élysées épatant, aux couleurs tantôt diaphanes, tantôt plus dramatiques, aussi à l’aise dans le lyrisme du début du troisième acte (quelles cordes chatoyantes!) que dans les premières mesures sombres et nerveuses du IV
Par Stéphane Lelièvre
À l'occasion de la première représentation de Fortunio à l'Opéra Comique